Il m’arrive de temps en temps de prendre position sur une valeur la veille des résultats si je sens qu’il y a un bon coup à jouer ; le 8 février j’anticipe que tout le monde attend des résultats médiocres sur Business Objects dans la continuité des très mauvais résultats du 4 novembre 2004 où le titre s’est effondré de 17,19%, passant de 20,01 euros à la clôture du 3 novembre à 16,69 en ouverture (avec un gap géant de plus de trois euros, en partie comblé avant la clôture) ; le 10 février d’ailleurs, une tentative de comblement en séance de ce gap ne parviendra pas son terme, à quelques centimes d’euro près.